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[Blizzard] Ehir Binnurith Akibara-Sung Kosh-Buendia Rin - Nafräat
Nao569
Messages : 273
Date d'inscription : 30/12/2019
Age : 26
Administrateur
Nao569
Présentation de Personnage


Nom : Binnurith Akibara-Sung Kosh-Buendia Rin
Prénom : Ehir
Âge : 20 ans
Sexe : Masculin
Race : Nafrät
Passif Racial :  Leur affinité naturelle magique leur permet de lancer un de leurs sorts à un niveau supérieur à leur niveau de compétence magique sans consommer plus de mana. Les mages niv.5 ne bénéficient que d'une réduction de -2 au coût en mana d'un de leur sort.
Une fois par combat.



PV : 19 (15 + 2*2)
Mouvement : 6 (5 + 1)
Endurance : 17 (14 + 1 + 2)
Mana : 19 (15 + 2 + 1 + 1 (racial))

Physiques :
• Constitution : 14 (Mod. : +2)
• Force : 13 (Mod. : +1)
• Dextérité : 8 (Mod. : -1)
• Agilité : 12 (15 + 1) (Mod. : +1)
• Furtivité : 10 (Mod. : 0)
• Habilité : 8 (Mod. : -1)

Psychiques :
• Mental : 15 (14 + 1) (Mod. : +2)
• Contrôle : 13 (12 + 1) (Mod. : +1)
• Réflexion : 8 (Mod. : -1)
• Perception : 10 (Mod. : 0)

Compétences
Branche principale : Mage - Érudit

Compétences Principales :
• Magie Nécrotique (Niv.1)
• Concentration (Niv.1)
• Traque (Niv.1)


Compétences Secondaires :
• Bouclier (Niv.1)
• Erudition (Niv.1)

Compétences Tertiaire :
Bloqué
Bloqué
Bloqué
Bloqué
Bloqué

Grimoires & Sorts
• Grimoire de la Nécromancie (Basique)

École & Technique
• Voie du Soutient - Bouclier (Basique)
- Sacrifice Protecteur
- Réprimande

Connaissance
Langue : Commun ; Nafräat
Connaissance : Linguistique (Basique) ; Histoire (Basique)

Titre
Actif :
Autres :

Avancé dans Malkidem
• Etages 1 à 3

Historique de Modification:
Validation : Mai 2024 par Nao
Jeu 2 Mai - 19:44
https://etherion.forumactif.com
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Nao569
Messages : 273
Date d'inscription : 30/12/2019
Age : 26
Administrateur
Nao569
Description du Personnage


Description Physique :
Taille : 2m05
Poids : 90 kilos
[Blizzard] Ehir Binnurith Akibara-Sung Kosh-Buendia Rin - Nafräat Ehir10

Ehir est un jeune homme à la peau blafarde et aux cheveux bouclés noir de jais. Ses yeux rouges à l’instar de son père sont mis en valeur par des cils et des sourcils délicats, presque féminins. Il a des traits très fins, lui donnant avec son absence de barbe ou de moustache un aspect juvénile, passant parfois pour plus jeune qu’il ne l’est. Il possède une paire de cornes grises tournant vers ses tempes. Sa bouche et l’arête de son nez sont fins renforçant cette impression de fragilité de visage. Il affiche souvent un air calme et observateur, bien que son visage avenant le rende plus amical en apparence que son père. 
Légèrement plus grand que son père, Ehir a une musculature légèrement moins marquée que ce dernier. Il a une démarche plus bruyante, mais a tiré de son paternel son regard attentif, semblant se poser sur tout son environnement lorsqu’il entre ou sort d’une pièce. 
L’une ou l’autre cicatrices marquent son corps, souvenirs d’entraînements ou d’aventures d’enfants.


Description Psychologique :
Ehir est d’un tempérament calme et attentif, ses années d’études et de solitude lui ayant appris à raisonner avant d’agir impulsivement. L’instinct protecteur d’Ehir rappelle celui de son père, bien qu’étant moins prononcé, et il apprécie avoir quelqu’un pouvant lui rendre la pareille en couvrant ses arrières.
Ehir est également conscient de l’impact que les mots peuvent avoir, et tâchera toujours de trouver le moyen le plus juste d’exprimer son ressenti pour éviter tout malentendu, quitte à parfois prendre plus de temps que nécessaire pour répondre. Il peut se montrer fort loquace lorsqu’il se sent en confiance avec ses interlocuteurs, et est assez confiant en lui de manière générale, encouragé par ses instructeurs et son père toute sa vie. Il reste cependant assez fermé et évasif concernant sa mère, ayant rarement eu des contacts avec elle et n’ayant pas réellement eu de figure maternelle dans sa jeunesse. À l’exception de quelques contacts lors de ses séjours à Bluenbourgh, il n’a souvent interagit avec des filles de son âge non plus, ce qui le rend parfois assez maladroit.



Histoire :
Aveuglé par la lueur du soleil, les griffes du froid mordant son dos étalé sur le sol glacé de la cour, Ehir plisse les yeux pour réduire l’intensité des rayons qui lui brûlent la rétine. Son corps douloureux s’engourdit avec le froid, alors qu’un lancement sourd lui tiraille une tempe. Il papillonne des paupières plusieurs fois, sa vision floue se focalisant petit à petit sur une haute tour dominant un des angles de la cour du bastion d’Alcarnus. Son esprit embrumé remet les pièces ensemble petit à petit, alors qu’une silhouette cache subitement l’éclat solaire et qu’un visage féminin se dessine. Ehir remet rapidement un nom sur les traits fins encadrés de longs cheveux légèrement verdâtres, alors que Dame Aelirenn var Kaedwen s’exclame sur un ton soucieux et contenant un semblant de colère :
  • Kerell ! Vous auriez pu faire plus doucement. . . Regardez le, il est à moitié assommé !


Une nouvelle personne apparaît dans le champ de vision du jeune Nafräat. Ehir reconnaît les cornes et la barbe de son père, qui bien qu’affichant un sourire amusé cache un air soucieux au fond de ses yeux, qui aurait pu passer inaperçu pour une personne moins familière que son fils. Le jeune Nafräat se redresse sur un coude, puis en position assise, soutenu par la nécromancienne s’étant quasi jetée à son chevet. 
Alors que l’Elya se met à sermonner le mage de Terre, qui tient toujours un bâton solidifié par des anneaux métalliques à la main droite, Ehir se redresse doucement, la douleur à son crâne disparaissant doucement. Il récupère en tâtonnant un peu son bouclier au sol, puis se redresse. Torse nu à l’instar de son père, il présente cependant plusieurs marques de peinture noire à différents endroits du corps, déposées par les frappes de son paternel, dont le bâton est encore dégoulinant de mixture noirâtre. Le vainqueur du combat qui vient d’avoir lieu s’avance vers son fils, et pointe du doigt le bouclier du jeune homme, marqué de traces sombres à l’instar de son corps, mais en bien plus grand nombre : 
  • Eh, belle progression ! Regarde tous les impacts déviés ou bloqués ! 
  • Si tu avais une vraie lame plutôt qu’un bout de bois, je ne serai plus l’élève de Dame Aelirenn mais son serviteur...
  • Fils, c’est en forgeant qu’on devient forgeron. Tu es encore jeune, il te reste du temps avant de parfaire ta technique, mais c’est en bonne voie, crois moi.


Kerell s’arrête un instant, levant la tête vers la tour, avant de revenir à nouveau vers son fils. Il l’observe quelques instants, avant d’afficher un petit sourire, puis de ramener son attention à la seule représentante du sexe féminin, alors qu’il ramasse sa tunique et se rhabille, semblant un peu rigide dans ses mouvements : 
  • Bien, bien... Que diriez-vous d’une tasse de thé pour discuter de ses avancées magiques ?
  • Bien sûr, suivez-moi. Ses progrès sont remarquables, il a de plus en plus d’aise à...


Alors que les deux aînés s’éloignent, Ehir ramasse de sa main libre sa propre chemise, dépose son bouclier tâché sur le présentoir prévu près du muret des chemins couverts reliant la tour à la barbacane du bastion. Il s’en approche, et observe la mer, séparant la petite forteresse de la côte, où serpentent de petits chemins parcourus par des fermiers et leurs charrettes tirées par des boeufs, ressemblant à de petits points noirs avec la distance. 
Il soupire légèrement, se remémorant le temps passé à proximité de Bluenbourgh, où les contacts sociaux ne se limitaient pas à sa professeure de nécromancie, ses squelettes et occasionnellement son père lorsque son emploi du temps est libre. Il serre un peu les poings, le vent se levant et des nuages sombres occultant le soleil, annonciateurs d’une tempête prochaine. 
Ehir se surprend à espérer qu’elle frappera rapidement le château, empêchant son père de repartir aujourd’hui. La semaine qu’il avait passée à Alcarnus touchait à sa fin, et bien que les entraînements au combat lorsqu’il est présent soient plus intensifs que le reste du temps, il trouve un certain plaisir à un tel exercice physique, surtout accompagné de son paternel. L’apprentissage magique avec dame Aelirenn, bien qu’intéressant et portant ses fruits, était parfois rébarbatif, et les cours théoriques encore plus, se résumant à plusieurs heures assis devant un pupitre et de vieux livres.
Après un temps, Ehir voit revenir son père accompagné de la nécromancienne et d’une demi-douzaine de ses serviteurs, 4 portant des armes de corps à corps et 2 des arbalètes. Le groupe s’arrête à une quinzaine de mètres du jeune garçon, et ce dernier s’avance vers eux de quelques pas, un air d’incompréhension sur le visage.
Alors qu’il ouvre la bouche pour demander ce qu’il se passe, il sent un courant d’air à côté de sa tête, ainsi qu’une légère tension dans ses cheveux à l’instant où un carreau lui lacère une mèche, manquant de quelques doigts son crâne. Sans hésitation, soudain pris d’une brusque poussée d’adrénaline, Ehir se jette vers l’avant avec force, se réceptionnant assez maladroitement d’une roulade mal équilibrée due à l’intensité de son saut. Parvenu à portée du râtelier, il récupère son bouclier à tâton et le lève à deux mains devant son torse, rentrant la tête dans les épaules et fléchissant légèrement les jambes afin de couvrir le maximum de son corps juste à temps pour encaisser le carreau du second tireur.
Il fronce les sourcils, un mélange d’émotions inhabituelles telle que de la colère et un sentiment de trahison montant dans sa poitrine et lui nouant la gorge. Sentant des larmes de frustration lui monter aux yeux, il serre les paupières un instant, gardant toujours la pause alors que les arbalétriers commencent à recharger et que les guerriers s’approchent pas à pas. Il chasse les larmes lui embuant les yeux d’un battement de cil, puis tout en commençant à canaliser son flux, il s’élance vers le guerrier le plus proche après avoir ajusté la lanière de son bouclier. Repoussant d’un revers de bouclier la frappe à la hachette de son premier opposant, il ramène son bouclier face à lui d’une rapide pirouette, et prolonge son mouvement d’un mouvement semblable à un uppercut avec la tranche. Le cerclage en métal traverse avec aise le crâne du serviteur mort-vivant, alors que le jeune Nafräat poursuit vers le reste des adversaires sans s’arrêter dans son mouvement, réalisant un tour sur lui-même pour s’en approchant tout en dégageant son arme.
Son flux, chargé durant sa première attaque se manifeste brusquement sous forme de quatres serres semblant s’allonger à partir des doigts de sa main droite, quelques instants avant de trancher net la main armée d’un de ses opposants et puis de laisser une large taillade sanguinolente en travers de son torse lors d’un second passage.
Il progresse ainsi, éliminant un troisième adversaire, et lors de son duel avec le dernier combattant rapproché, il encaisse un puissant coup de taille de hallebarde qui projette son bouclier, en miette, sur le côté. Écarquillant les yeux de peur, Ehir esquive de justesse une frappe de haut en bas en se jetant au sol, rampe suffisamment pour éviter deux attaques semblables avant de porter les mains au torse du combattant mort-vivant. De celles-ci jaillissent des flammes verdâtres après quelques instants, commençant à consumer le serviteur de la Nécromancienne alors qu’Ehir monte ses mains sur les tempes de celui-ci. Après quelques instants immobiles à pousser un râle profond, le serviteur finit par s'affaisser, les chairs rongées par les flammes nécrotiques, alors que le jeune homme se redresse chancelant. Après un quart de tour vers la droite, l’air hébété, Ehir se retrouve face aux deux arbalétriers, qui décochent leurs traits en direction du torse du Nafräat.
Les flèches s’arrêtent brusquement à mi-chemin, avant de se retourner et de repartir à pleine vitesse vers le crâne des tireurs, les transperçant en faisant pencher brutalement leur tête vers l’arrière.
  • Ça suffit.


Kerell baisse la main, relâchant son flux qu’il avait manifestement amassé avec difficulté et s’approche de son fils pantelant et l’air méfiant.
  • Aelirenn m’a dit que tu étais prêt, et a proposé cet exercice. Et je ne peux que remarquer qu’en effet, tu es très débrouillard. 
  • Un. . . Un exercice ?! j’aurais pu crever plusieurs fois !
  • Je ne l’ aurai pas laissé faire. Et puis, jusqu’à ce que ton bouclier pourri vole en morceaux, tu t’es drôlement bien dépatouillé pour quelqu’un qui ne s’est jamais battu. On dirait que je t’ai transmis mon instinct du combat.


Ehir ouvre et ferme la bouche plusieurs fois, l’air confus, alors que son père adopte un air mélancolique en sortant une feuille pliée de sa poche. Le papier est marqué par les traces de plis, déchiré légèrement dans un coin et un peu ondulé, comme s’il avait été mouillé par de la pluie. Le jeune Nafräat la parcourt rapidement des yeux, y lisant une invitation à rejoindre la Guilde Pérégrine. Le rendez-vous semble dépassé depuis plusieurs jours.
Le nécromancien lève la tête vers son père, réfléchissant à tout vitesse :
  • Tu pars ?


Son homologue hoche la tête avec gravité, se mordant un peu une joue avant d’ajouter : 
  • Je pars sur Iros, une autre constellation. Je pourrai revenir de temps à autre, mais le temps que nous trouvions nos marques, je préfère rester là. J’ai. . . Beaucoup de gens, sur qui je dois veiller pour les ramener en vie à leurs parents... Il fait un geste vague de la main ... Des anciens camarades. 




Kerell pose les mains sur les épaules de son fils, se met bien en face de lui et le regarde droit dans les yeux : 
  • Je veux que tu poursuives ton entraînement. D’ici un an, tu seras suffisamment prêt pour pouvoir me rejoindre et poursuivre ton entraînement avec moi. D’ici là, tu resteras alternera des voyages entre Alcarnus et le camp des Traqueurs, près de Bluenbourgh, ça te parle ? Tu y apprendras les rudiments du pistage, et tu les parfaira en venant sur Iros.




Ehir déglutit et hoche la tête avec nervosité, avant que Kerell ne le lâche en se reculant.
  • Bien, bien. Bon, viens manger. Je partirai avant l’arrivée de la tempête.


Kerell tend le papier à Ehir, qui l’observe longuement en marchant à pas lent, pensif, suivant son père et leur hôte Elya vers l’entrée de la tour principale.
Jeu 2 Mai - 19:46
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